
Echoes Project
Porter les voix, préserver les savoirs


Notre ambition
Echoes Project a pour objectif de créer des expositions photographiques itinérantes et de développement d'un atlas en ligne sur les savoirs des peuples autochtones en lien avec le dérèglement climatique, en collaboration avec l'UNESCO. Ce projet soutient les peuples autochtones dans la prise en main des outils de communication afin qu’ils puissent rendre visibles leurs savoirs et témoigner, par eux-mêmes, de l’impact du changement climatique.
Missions
Notre méthode
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Visites de sites UNESCO
Chaque année, quatre missions seront menées autour d’un écosystème spécifique (toundra, forêt, désert, etc.), auprès de quatre communautés autochtones situées sur différents sites labellisés par l’UNESCO (patrimoine mondial, réserve de biosphère ou géoparc mondial).

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Formations locales à la photographie
Au cœur de chaque mission, des ateliers de formation à la photographie sont proposés aux membres des communautés autochtones et du matériel sera laissé à leur disposition, afin de leur transmettre les bases techniques et créatives nécessaires pour documenter leur environnement et leurs savoirs à travers leur propre regard.
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Documentation communautaire
Chaque mission permet de recueillir, avec et par les communautés, des récits, savoirs et pratiques liés à leur environnement. Ces connaissances, parfois ancestrales ou récemment adaptées, offrent des clés précieuses pour comprendre les effets du changement climatique et les stratégies locales d’adaptation.

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Sélection & exposition
À l’issue de chaque mission, une sélection collaborative des photographies et témoignages est réalisée avec les communautés. Ces œuvres sont ensuite présentées dans une exposition itinérante internationale, offrant au public un regard intime et authentique sur l’impact du changement climatique à travers les yeux des peuples autochtones.
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Intégration dans l’atlas UNESCO
Les photographies, témoignages et savoirs transmis oralement collectés au cours des missions sont intégrés à l’atlas en ligne de l’UNESCO dédié aux peuples autochtones et au climat. Cette plateforme permet non seulement de valoriser ces connaissances auprès d’un large public international, mais surtout de préserver un patrimoine immatériel souvent menacé. Ces savoirs, issus de générations d’observation et d’adaptation à l’environnement, constituent des clés essentielles pour comprendre les bouleversements écologiques actuels et imaginer des réponses durables.

Nos prochains évènements
Nos Partenaires
Validés ou ciblés
UNESCO
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Partenaire institutionnel du projet, l’UNESCO joue un rôle central dans le déploiement du fonds Echoes Fund. Grâce à son réseau mondial de sites inscrits au patrimoine mondial et aux relations tissées avec les communautés locales, l’UNESCO facilite l’accès aux territoires autochtones concernés par le projet. Elle accueille également les expositions photographiques lors de ses grands événements culturels et scientifiques, offrant une visibilité internationale aux voix et savoirs présentés. Sa notoriété, son expertise et son engagement en faveur du patrimoine immatériel renforcent la portée médiatique et institutionnelle du projet, et en font un cadre sécurisant et crédible pour les mécènes souhaitant s’engager dans une action à la fois culturelle, environnementale et humaine.
Musée du Quai Branly
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Institution de référence en matière de cultures autochtones et de patrimoines non occidentaux, le musée du quai Branly – Jacques Chirac représente un partenaire naturel pour le fonds Echoes Fund. Son soutien institutionnel pourrait prendre la forme d’un accompagnement scientifique, d’un appui à la diffusion de l’exposition ou de l’accueil d’événements liés au projet (tables rondes, projections, expositions temporaires). Ce partenariat renforcerait la légitimité du projet dans le paysage culturel français et international, tout en offrant aux mécènes une visibilité au sein d’un lieu prestigieux engagé dans la valorisation des expressions autochtones contemporaines.
National Géographic Explorer

Reconnu pour son engagement en faveur de la préservation des cultures et de l’environnement, National Geographic serait un partenaire stratégique pour Echoes Fund. À travers son expertise en narration visuelle et son audience mondiale, National Geographic pourrait accompagner le projet via un soutien éditorial, une valorisation des photographies dans ses supports (papier ou numériques), ou la co-organisation de temps forts autour de l’exposition. Un tel partenariat offrirait une résonance internationale aux témoignages autochtones recueillis, tout en renforçant la crédibilité et l’impact médiatique du projet auprès du grand public et des mécènes sensibles aux enjeux climatiques et culturels.
Alliance française
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Avec son réseau de plus de 800 antennes dans 135 pays, l’Alliance Française représente un relais culturel clé pour accompagner la diffusion internationale d’Echoes Fund. En tant que partenaire, elle pourrait accueillir l’exposition photographique dans ses espaces, organiser des rencontres autour des savoirs autochtones, et faciliter le dialogue avec les publics locaux. Sa capacité à mobiliser des audiences engagées dans les domaines de la langue, de la culture et de la citoyenneté renforce la portée éducative et interculturelle du projet. Pour les mécènes, ce partenariat garantit une visibilité durable dans un réseau mondial reconnu pour son action en faveur de la diversité culturelle.
Kodak
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Kodak, acteur historique de l’image et partenaire reconnu de nombreux projets photographiques à impact, pourrait jouer un rôle essentiel dans la mise en œuvre concrète du projet Echoes Fund. En soutenant le projet par le don ou le prêt de matériel photographique destiné aux communautés autochtones, Kodak contribuerait directement à leur autonomisation en leur permettant de documenter leur réalité par leurs propres regards. Ce geste symbolique et logistique renforcerait la dimension éthique et participative du projet, tout en inscrivant Kodak dans une démarche de soutien à la création engagée, au dialogue interculturel et à la justice environnementale.
Les Rencontres d’Arles

Le Festival des Rencontres d’Arles serait un partenaire naturel et stratégique pour le projet Echoes. En tant que l’un des plus prestigieux festivals de photographie au monde, reconnu pour sa capacité à faire dialoguer création artistique et enjeux de société, il offre une plateforme exceptionnelle pour donner visibilité aux voix autochtones à travers une programmation engagée. Son rayonnement international, son ancrage dans les problématiques contemporaines, ainsi que son public composé de professionnels, de mécènes et de médias, en font un levier idéal pour porter le message du projet Echoes au plus haut niveau culturel et institutionnel.
Comité consultatif
Fernando Ramirez Rozzi
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Eco-anthropologue, directeur de recherche au CNRS et membre du Muséum national d’Histoire naturelle, ses travaux se concentrent sur la diversité biologique des populations humaines modernes. Il mène des recherches approfondies sur les peuples autochtones, notamment les Pygmées Baka du Cameroun et les populations nilotiques du Soudan
Tupaarnaq kreutzmann kleist

Inuit et éleveuse de moutons dans le sud du Groenland, Tupaarnaq est fortement impliquée dans les mouvements de décolonisation de son pays, ainsi que dans la reconnaissance et la valorisation de la culture inuit.
Secteur des sciences exactes et naturelles, UNESCO (Nigel Crawhall)

Chef de Section UNESCO des Systèmes de Savoirs Autochtones et Locaux, auparavant Directeur du Secrétariat au Comité de coordination des peuples autochtones d'Afrique, Nigel travaille à la préservation des langues et des savoirs autochtones sur les différents sites UNESCO
Anne-Françoise Hivert - en attente de validation
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Journaliste correspondante pour Le Monde, Anne-Françoise a notamment travaillé au Groenland sur le placement forcé des enfants inuits.
Juliette Pavy
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Photoreporter, lauréate du prix du photographe de l’année aux Sony World Photography Awards. Elle est la première Française à remporter ce prestigieux prix qui consacre son travail sur les implications à long terme, et les conséquences émotionnelles et physiques du programme de contraception forcée, mis en place par les autorités danoises, sur les femmes inuites du Groenland, entre 1966 et 1975.
Aimée Bouchet
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Productrice et réalisatrice de documentaires spécialisée dans les cultures autochtones, Aimée a travaillé avec plusieurs prestigieuses institution telles que le MNHN, le Fondation Goodplanet, Yann Arthus-Bertrand, l’UNESCO, l’Arctic Institute ou encore les Terres Australes Antarctiques Françaises.